lundi 22 novembre 2010

Vous pouvez le faire et vous êtes en train de le faire.









Vous pouvez le faire et vous êtes en train de le faire

Il n’y a ni stress ni tension dans la nature: une graine accomplit le cercle complet de sa croissance, elle n’a rien à faire, elle ne fait que laisser son programme se dérouler. Quand un serpent fait sa mue, il se tortille lentement pour s’extraire de sa vieille peau. Un oiseau fait éclater la coquille qui l’enferme et sort complètement transformé, des ailes lui poussent  et il se met à voler – il est libre, libre, libre! C’est ce qui vous attend. Une nouvelle liberté, une nouvelle joie, un monde tout nouveau attend de s’ouvrir pour vous lorsque vous acceptez de vous dégager de ces habitudes, de ces pensées, de ces idées limitatives et d’être transformé. Vous pouvez le faire et vous êtes en train de le faire. Cela commence à se mettre en place. (Ellen Caddy)

Une première intention, un premier geste : une graine s’est laissée tomber, un serpent s’est tortillé, un oisillon s’est mis à frapper du bec. Et nous ? Nous avons eu l’intention du changement. Un vrai désir suivi d’un premier geste : la visualisation du rêve. Une première création dans le monde invisible.

Il s’agit désormais de laisser le programme se dérouler, la mue s’accomplir. Quand nous serons au bord de la falaise, nous nous envolerons car nous serons ailés.

Nous pouvons le faire et nous sommes en train de le faire, mais l’opération est invisible. C’est ici qu’entrent la confiance et la patience. Le jardinier ne déterre pas ses graines pour voir si elles se transforment correctement. Devenu trop gros le serpent accepte l’abandon et l’oubli de ce qui le protégeait jusqu’ici.  L’oisillon ne se retourne pas pour voir si les ailes lui poussent. La nature accepte sa transformation. Et vous et moi ?

Depuis que j’ai traduit le livre de Bob Proctor et Michele Blood « Devenez un aimant pour l’argent dans la Mer de la Conscience illimitée », j’ai semé une graine qui à présent germe dans la terre. Mais je ne le sais pas tous les jours ou à tout moment. J’aimerais bien déterrer la graine pour voir si elle pousse.

Mon métier de traductrice-passeuse me pousse à changer de peau avec chaque livre, surtout lorsque ce sont des livres inspirés comme celui-ci. Mais vers quelle nouvelle vie m’a-t-il entrainée ? Quelle ironie de dire aux autres que ce livre va éveiller leur conscience par certaines pratiques - qui au départ ne serviraient qu’à les rendre riches et donc libres - alors que moi-même je traverse ces temps que Michele Blood décrit (elle n’est pas la seule) comme « la nuit noire de l’âme » !  Vous parlez d’un exemple à donner, d’une preuve !

Je relis Michele Blood et cette traduction qui fut pour moi une méditation et le redevient tant les mots anglais de cette femme sont devenus les miens, en français : «à présent, par la pratique de la méditation et le renouveau de notre esprit par des affirmations positives et autres, les cellules de notre corps qui contiennent nos mémoires ont commencé à s’ouvrir car la glace - l’encrassement - autour de nos cellules et autour de nos corps éthérés s’est mise à fondre.       
C’est alors que nous risquons d’arrêter nos pratiques méditatives car nous nous sentons si mal et pourtant on nous avait dit que si nous méditions nous serions apaisés. En réalité, dans le silence des premiers temps de notre pratique de méditation, ces mémoires que nous croyions avoir oubliées depuis longtemps commencent à émerger et à perturber notre paix intérieure. Au début, ce phénomène arrive de plus en plus fréquemment. Alors que nous examinons notre moi intérieur et continuons nos découvertes sur la nature du Divin et nos pratiques méditatives, nous commençons à traverser ce que l’on appelle la nuit noire de l’âme. Il ne s’agit PAS d’une dépression psychologique normale, les nuits noires de l’âme sont bien plus profondes, et pourtant elles mènent à la lumière. »

Elles peuvent durer cinq minutes, cinq heures ou autre. Puis soudain la paix revient, le lâcher-prise qui chez moi ne sera jamais une certitude.

Ainsi donc, ce serait ça la vraie vie, celle des Dalaï Lama et des Nelson Mandela de ce monde. Je sais cela.

Il est un temps de semer, il est un temps de récolter.

Alors je sais que les graines semées germent en silence, l’hiver passera.

Si vous aussi voulez entrer dans la liberté que procure l'abondance, je vous conseille de lire ce livre magnifique de Bob Proctor et Michele Blood : « Devenez un aimant pour l’argent dans la mer de la conscience illimitée ». en cliquant sur le site américain vous serez envoyé sur la version française: