vendredi 25 novembre 2011

La loi de l’attraction – comment ça marche ? Les semailles et les moissons déjà vécues.


La loi de l’attraction – comment ça marche ? Les semailles et les moissons déjà vécues.

Il y a un secret dans l’air. Secret qui du reste a donné lieu au best-seller américain The Secret, - livre et film - vendu à des dizaines de millions d’exemplaires qui définit la loi de l’attraction. Mais nous sommes en France, ou dans une tradition francophone, ainsi ne pourrions-nous pas définir cette loi avec nos propres mots et traditions ?

Puisque ce monde consiste (on ne peut même pas dire « en éléments » puisque la science n’a pas encore pu définir la plus petite chose élémentaire de l’univers et ne le fera peut-être jamais,) en vibrations, en informations passant d’un « élément » à un autre, les auteurs du Secret nous rappellent tout simplement notre unicité. Si j’influence un élément, en l’occurrence mon esprit (la seule chose de ma vie qui soit en mon pouvoir, la seule avec laquelle je suis libre), alors je change la vibration de tout ce qui me concerne. La loi de l’attraction à l’américaine nous dit tout simplement de vibrer sur la fréquence de nos désirs afin que ces désirs deviennent éléments concrets de notre réalité. Désirs qui bien évidemment vibrent déjà à leur propre fréquence.

C’est le déjà qui peut poser problème. Comment vibrer la richesse par exemple quand on est déjà criblé de dettes et déjà accro chaque soir à la télé-infos-catastrophes ? Comment vibrer une relation amoureuse épanouie quand on est déjà seul, ou déjà en désaccord amoureux depuis si longtemps qu’on a oublié comment c’était avant et que c’est trop tard de toute façon ? Comment vibrer la santé quand on a déjà mal au dos et qu’on nous prévient déjà et encore que la nouvelle grippe sera sévère cet hiver ? Comment vibrer la paix mentale quand rien qu’à l’idée du repas de Noël en famille on est déjà énervé, apeuré, angoissé. Et comment vibrer tout le reste si on s’est mis en tête de faire sienne cette citation d’André Gide sur laquelle le prof de philo nous avait demandé de faire une dissertation : « J’ai besoin du bonheur de tous pour être heureux » ?
Pour l’amour, la santé, la paix de l’esprit et le bonheur de tous, c’est ailleurs. Ici, c’est pour « comment devenir un aimant pour l’argent. »

On fait comme ma grand-mère. Elle avait le meilleur blé de la paroisse, par conséquent, elle était riche. Elle mettait ses billets défroissés, pliés en long (une façon de plier que je n’ai jamais revue) entre les piles de draps de son armoire. Leur odeur d’argent imprégnait les draps autour. Le vendredi, elle mettait des billets dans son portefeuille de cuir, je regardais émerveillée ce rite qui me faisait ressentir la puissance de cette vieille femme à coiffe et costume de velours, ma grand-mère, qui se préparait à distribuer ses billets comme autant de baguettes magiques. Nous allions à la foire, à vélo, après la côte. Nous passions à la boulangerie comme tout le monde pour commander le pain blanc de la semaine. Il fallait du pain blanc, les riches mangent du pain blanc. C’est lorsque j’entrais avec elle à la librairie que je savais que nous n’étions pas comme tout le monde. Nous, nous avions la meilleure terre du bassin, peut-être même de Bretagne. Une terre qui donnait le meilleur blé, en plus c’était le nouveau, celui qui se vendait déjà le mieux. C’est pour cela que ma grand-mère pouvait acheter un livre à sa petite-fille qui était venue pour les vacances. Elle m’achetait un seul livre. Il me durait tout l’été. Je finissais par l’apprendre par cœur.
Je sens encore l’odeur des billets pliés, je peux retrouver l’odeur de la librairie qui me remplissait d’un tel bonheur que je pense encore que lire est un péché. Je sais donc vibrer sur la même vibration que les riches, c’est pour cela que je me sens riche au point que mon plaisir de l’argent est quasiment une transgression. Ma grand-mère a semé en moi les graines de la richesse et les mots des livres sont mes moissons.

Bob Proctor, dans son livre écrit avec Michele Blood que j’ai traduit et qui ne peut que vous faire retrouver l’odeur et le goût de l’argent, écrit sur la nécessité de déjà ressentir. Supposez que vous désiriez déjà ressentir le calme et la puissance que procure un compte en banque sain, au moment où vous ouvrez votre relevé bancaire par exemple :
« Pour commencer, vous devez ressentir. Entrez vraiment dans les émotions que vous éprouverez une fois que votre désir sera accompli. Quel que soit votre vœu, demandez-vous d’abord : « Comment est-ce que je me sentirai une fois que cette chose m’arrivera ? »
Votre ressenti sera peut-être surprenant. Ce sera peut-être un sentiment de paix et de soulagement ou alors d’excitation effrénée et bien évidemment de gratitude. Si vous n’arrivez pas à imaginer comment vous vous sentirez, souvenez-vous d’un moment de votre vie passée où vous avez réussi quelque chose de merveilleux. Mettez-vous dans cette vibration d’amour, dans ce temps où vous étiez très heureux et visualisez alors votre désir comme s’il était déjà accompli. »
 (Extrait de Devenez un aimant pour l’argent dans la mer de la conscience illimitée, de Bob Proctor et Michele Blood)

La traduction de Devenez un aimant pour l’argent dans la mer de la conscience illimitée, de Bob Proctor et Michele Blood est disponible en ebook ; cliquez sur la belle couverture du livre à droite pour devenir déjà libre et prospère. C’est imparable mais il faudra le lire, vraiment, être capable de prendre sa moelle et d’accepter d’en faire les exercices.
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