samedi 24 décembre 2011

Stress de Noël - à tous les solitaires, les fauchés et les goinfres



Chers amis,

Ces derniers jours, je me réveille avec une chanson qui me trotte dans la tête : « C’est le temps le plus merveilleux de l’année. » (Ces musiques de magasin ont une façon insidieuse d’envahir votre cerveau !) J’ai instantanément cette répartie : « C’est le temps le plus STRESSANT de l’année ! »

Alors que ces temps de fêtes peuvent être des moments heureux et épanouissants, ils peuvent aussi être des moments de grands défis. La dépression y est plus fréquente qu’à n’importe quelle autre période de l’année.

Y a-t-il une meilleure façon de passer ces vacances qui nous permettrait de nous brancher sur les moments « heureux et épanouissants » et de diminuer les moments « stressants » ?

Je me suis penchée sur tout cela récemment car je ressens une certaine tristesse depuis quelques semaines. C’est la première fois en treize ans que je ne suis pas dans une relation amoureuse pendant les fêtes, et pourtant, je veux encore garder le cœur ouvert et me sentir heureuse et accueillante.

J’ai donc fait une ordonnance qui marche pour moi et qui je crois devrait marcher pour vous. Elle s’adresse aux cinq sources principales de stress qui peuvent amener aux blues de fin d’année :

1. *La sur-consommation –
Nous avons tendance à trop acheter, à trop manger, à trop boire, à trop de tout. Ça vous dit quelque chose ?
2. *La solitude –
C’est le moment de l’année où nous nous sentons le plus isolé ou le plus seul – même si nous sommes entourés de plein de gens.
3.*La précipitation
Dans la folie de la saison où nous sommes sans arrêt pressés, nous oublions de prendre soin de nous-mêmes.
4.*Le stress financier
Pas besoin d’expliquer ça !
5.* Une perte de perspective
Nous sommes si préoccupés de savoir si nous achetons le cadeau qu’il faut, si nous choisissons les vêtements qu’il faut pour l’occasion, si nous avons acheté tous les ingrédients qu’il faut pour cuisiner le plat du réveillon, que nous perdons souvent de vue ce qui apporte vraiment la joie.

Voici mes cinq tuyaux pour survivre aux vacances de Noël en gardant le cœur ouvert et en laissant venir la joie :

1.*Connectez-vous à votre cœur.
Quand vous vous surprenez à tendre la main vers une cinquième truffe au chocolat ou à vouloir vous resservir d’une autre part de bûche, arrêtez-vous, prenez une respiration profonde vers le cœur, puis expirez et recommencez plusieurs fois. Pour un plus grand pouvoir, placez votre main sur le cœur pour stimuler l’oxytocine, la substance du bonheur.
 2.*Recherchez la compagnie et le soutien des autres.
Si vous êtes seul, débrouillez-vous pour trouver des gens avec qui passer du temps. Ne restez pas isolé. Lorsque vous avez du monde autour de vous, décidez de vous concentrer sur ce que vous appréciez et ce qui vous fait plaisir en eux, plutôt que de rester dans vos jugements et vos critiques. Oui, c’est vrai, la famille a le don de réveiller « des trucs » en vous - mais profitez de l’occasion pour travailler sur vos schémas limitatifs et laissez l’amour prendre le dessus. (Pourquoi ne pas faire le fameux Ho’oponopono pour vous aider à lâcher et à pardonner ?)
3.* Prenez du temps pour vous.
C’est au milieu du tourbillon des fêtes que nous avons LE PLUS besoin de nous réserver une plage de temps pour prendre soin de nous. Ma relaxation favorite pour le soir, c’est un bon bain chaud de 15 minutes dans lequel j’ai versé du sel de mer, et de l’huile de lavande. C’est divin et ça rééquilibre le champ énergétique du corps.
4.*Mettez-vous au service des autres.
Donner de votre temps et de votre cœur pour servir ceux qui sont dans le besoin vous aidera à ne plus prêter attention à votre désir de surconsommer. L’altruisme et le service à autrui sont la voie rapide vers l’ouverture du cœur. 
5* Soignez votre spiritualité.
La période du solstice d’hiver, quand il y a davantage d’obscurité, est en fait un moment propice à la spiritualité. Saisissez l’occasion pour entrer en vous-même – méditez, connectez-vous à l’esprit de la façon qui marche pour vous. La pratique spirituelle est le meilleur antidote que je connaisse pour aider à maintenir l’équilibre et la perspective pendant la folie de la saison.

En suivant ces cinq conseils, en douceur, vous vous surprendrez à fredonner : « C’est le temps le plus merveilleux de l’année » et vous y croirez.

Que les jours qui viennent nourrissent votre esprit et vous apportent la joie !

Avec mon amour, sans raison et pour toutes les raisons,

Marci Shimoff

Traduit avec la permission de l’auteur par Madeleine Le Jeune  

mardi 20 décembre 2011

Pour que demain soit meilleur


Pour que demain soit meilleur.
Je vis mieux le jour d’aujourd’hui.

Aujourd’hui, je travaille comme il faut.
Aujourd’hui, je mange sain et sobre.
Aujourd’hui, je me bouge.
Aujourd’hui, je souris.
Aujourd’hui, je suis gentille avec ceux que je rencontre.
Aujourd’hui, je laisse aller les pensées noires et grises.
Aujourd’hui, je fais attention à mes sous.
Aujourd’hui, je mets des sous dans mon petit cochon.
Aujourd’hui, j’en donne à la fille qui mendie dans le froid.
Aujourd’hui, je n'ai plus honte.
Aujourd’hui, je suis reconnaissante.
Aujourd’hui, je m’aime bien.
Aujourd’hui, je suis encore en vie.

Aujourd’hui je relève ce conseil d’espoir dans le livre optimiste de Bob Proctor et Michele Blood que j’ai traduit et qui me rassure car si aujourd'hui n'est que le produit d'hier, demain sera le produit d'aujourd'hui, donc je prends l'ascenseur de la prospérité, ne m'arrête plus à l'étage du manque et appuie sur celui de mon droit à l'argent :

ARRÊTEZ D’APPUYER SUR LES MÊMES BOUTONS !

vendredi 25 novembre 2011

La loi de l’attraction – comment ça marche ? Les semailles et les moissons déjà vécues.


La loi de l’attraction – comment ça marche ? Les semailles et les moissons déjà vécues.

Il y a un secret dans l’air. Secret qui du reste a donné lieu au best-seller américain The Secret, - livre et film - vendu à des dizaines de millions d’exemplaires qui définit la loi de l’attraction. Mais nous sommes en France, ou dans une tradition francophone, ainsi ne pourrions-nous pas définir cette loi avec nos propres mots et traditions ?

Puisque ce monde consiste (on ne peut même pas dire « en éléments » puisque la science n’a pas encore pu définir la plus petite chose élémentaire de l’univers et ne le fera peut-être jamais,) en vibrations, en informations passant d’un « élément » à un autre, les auteurs du Secret nous rappellent tout simplement notre unicité. Si j’influence un élément, en l’occurrence mon esprit (la seule chose de ma vie qui soit en mon pouvoir, la seule avec laquelle je suis libre), alors je change la vibration de tout ce qui me concerne. La loi de l’attraction à l’américaine nous dit tout simplement de vibrer sur la fréquence de nos désirs afin que ces désirs deviennent éléments concrets de notre réalité. Désirs qui bien évidemment vibrent déjà à leur propre fréquence.

C’est le déjà qui peut poser problème. Comment vibrer la richesse par exemple quand on est déjà criblé de dettes et déjà accro chaque soir à la télé-infos-catastrophes ? Comment vibrer une relation amoureuse épanouie quand on est déjà seul, ou déjà en désaccord amoureux depuis si longtemps qu’on a oublié comment c’était avant et que c’est trop tard de toute façon ? Comment vibrer la santé quand on a déjà mal au dos et qu’on nous prévient déjà et encore que la nouvelle grippe sera sévère cet hiver ? Comment vibrer la paix mentale quand rien qu’à l’idée du repas de Noël en famille on est déjà énervé, apeuré, angoissé. Et comment vibrer tout le reste si on s’est mis en tête de faire sienne cette citation d’André Gide sur laquelle le prof de philo nous avait demandé de faire une dissertation : « J’ai besoin du bonheur de tous pour être heureux » ?
Pour l’amour, la santé, la paix de l’esprit et le bonheur de tous, c’est ailleurs. Ici, c’est pour « comment devenir un aimant pour l’argent. »

On fait comme ma grand-mère. Elle avait le meilleur blé de la paroisse, par conséquent, elle était riche. Elle mettait ses billets défroissés, pliés en long (une façon de plier que je n’ai jamais revue) entre les piles de draps de son armoire. Leur odeur d’argent imprégnait les draps autour. Le vendredi, elle mettait des billets dans son portefeuille de cuir, je regardais émerveillée ce rite qui me faisait ressentir la puissance de cette vieille femme à coiffe et costume de velours, ma grand-mère, qui se préparait à distribuer ses billets comme autant de baguettes magiques. Nous allions à la foire, à vélo, après la côte. Nous passions à la boulangerie comme tout le monde pour commander le pain blanc de la semaine. Il fallait du pain blanc, les riches mangent du pain blanc. C’est lorsque j’entrais avec elle à la librairie que je savais que nous n’étions pas comme tout le monde. Nous, nous avions la meilleure terre du bassin, peut-être même de Bretagne. Une terre qui donnait le meilleur blé, en plus c’était le nouveau, celui qui se vendait déjà le mieux. C’est pour cela que ma grand-mère pouvait acheter un livre à sa petite-fille qui était venue pour les vacances. Elle m’achetait un seul livre. Il me durait tout l’été. Je finissais par l’apprendre par cœur.
Je sens encore l’odeur des billets pliés, je peux retrouver l’odeur de la librairie qui me remplissait d’un tel bonheur que je pense encore que lire est un péché. Je sais donc vibrer sur la même vibration que les riches, c’est pour cela que je me sens riche au point que mon plaisir de l’argent est quasiment une transgression. Ma grand-mère a semé en moi les graines de la richesse et les mots des livres sont mes moissons.

Bob Proctor, dans son livre écrit avec Michele Blood que j’ai traduit et qui ne peut que vous faire retrouver l’odeur et le goût de l’argent, écrit sur la nécessité de déjà ressentir. Supposez que vous désiriez déjà ressentir le calme et la puissance que procure un compte en banque sain, au moment où vous ouvrez votre relevé bancaire par exemple :
« Pour commencer, vous devez ressentir. Entrez vraiment dans les émotions que vous éprouverez une fois que votre désir sera accompli. Quel que soit votre vœu, demandez-vous d’abord : « Comment est-ce que je me sentirai une fois que cette chose m’arrivera ? »
Votre ressenti sera peut-être surprenant. Ce sera peut-être un sentiment de paix et de soulagement ou alors d’excitation effrénée et bien évidemment de gratitude. Si vous n’arrivez pas à imaginer comment vous vous sentirez, souvenez-vous d’un moment de votre vie passée où vous avez réussi quelque chose de merveilleux. Mettez-vous dans cette vibration d’amour, dans ce temps où vous étiez très heureux et visualisez alors votre désir comme s’il était déjà accompli. »
 (Extrait de Devenez un aimant pour l’argent dans la mer de la conscience illimitée, de Bob Proctor et Michele Blood)

La traduction de Devenez un aimant pour l’argent dans la mer de la conscience illimitée, de Bob Proctor et Michele Blood est disponible en ebook ; cliquez sur la belle couverture du livre à droite pour devenir déjà libre et prospère. C’est imparable mais il faudra le lire, vraiment, être capable de prendre sa moelle et d’accepter d’en faire les exercices.
 Lorsque vous commandez, ne quittez la page de paiement qu’une fois que vous avez cliqué pour revenir sur le site de Musivation. Si jamais Paypal fait des siennes, contactez-moi sur mon mail. 

samedi 2 avril 2011

Devenez un aimant pour l'argent

Devenez un aimant pour l'argent de Bob Proctor et Michele Blood




Ce dernier ouvrage de Bob Proctor et Michele Blood que j'ai récemment traduit va bien plus loin qu’AU-DELÀ DU SECRET. Il révèle les principes qui amènent aux plus hauts niveaux du développement de la conscience. Un ouvrage pionnier sur la réussite personnelle. Dans quelques années, quand vous penserez au prix qu’il vous a coûté, vous vous direz que c’était le meilleur investissement de votre vie.

Révolutionnaire, nouveau, il vous fera prendre conscience de la vraie nature de la richesse. Vous disposerez d’un instrument puissant, de la lampe merveilleuse !

Il va loin, profond … il vous emmènera bien plus profond que vous n’êtes jamais allé. Quand vous comprendrez la toute-puissance sur laquelle vous pouvez vous brancher, votre vie sera époustouflante.

lundi 7 mars 2011

Vos pensées créent le monde.

« Depuis la nuit des temps, quantité d’esprits et d’âmes éclairés ont enseigné le pouvoir de nos pensées, de la méditation et du mysticisme. Depuis Hermès Trismégiste, le Bouddha, le Christ Jésus jusqu’aux grands auteurs de la pensée positive de ces cent dernières années : Norman Vincent Peale, Napoleon Hill, Joel S Goldsmith, Wallace D. Wattles etc, tous ces grands esprits ont fondamentalement dit la même chose de façon différente : « Les pensées sont des choses » « Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas », « Vos pensées créent le monde », « Tout dépend de ce que l’on en pense »,  « C’est la foi qui … »  etc. Un maître à penser est celui qui est conscient de sa connexion avec la puissance supérieure et la ressent profondément. Bob Proctor est un maître à penser qui a apporté la loi de l’attraction aux masses de toutes cultures et aux gens de toutes conditions sociales et même au monde inflexible de l’entreprise. Il fait cela depuis plus de 40 ans maintenant et continue avec autant d’ardeur.

            Cet ouvrage contient des paroles de vérité et de puissants enseignements qui vous aideront à devenir une âme libre, indépendante et riche.  Si tout ceci est nouveau pour vous, gardez un esprit ouvert et laissez votre cœur le ressentir à votre place. Puissiez-vous toujours marcher avec la conscience de l’Esprit et que l’abondance, la joie et l’illumination s’accroissent dans votre vie. Souvenez-vous toujours que la Vie est magique. »

            Cet extrait de l’ouvrage de Bob Proctor et Michele Blood : « Devenez un aimant pour l’argent dans la mer de la conscience illimitée », dont j’avais débuté la traduction  française il y a à peine un an, commence seulement maintenant à faire sens pour moi. Si j’avais traduit « Devenez un aimant pour la vie » par exemple, il me semble que mon subconscient aurait moins résisté. Le mot « argent » a probablement soulevé en moi une armée d’interdits. Les voici qui se sauvent car ils n’ont plus de raison d’être. Ils ont montré leur vrai visage : ce sont de pauvres petits ballons dégonflés produits d’une pensée erronée, d’une erreur de jugement, résultats d’influences et de lavages de cerveau venus d’une propagande extérieure à moi, venus d’une sorte de conspiration pour me laisser dans un esprit de pauvre, une manipulation dont les manipulateurs eux-mêmes ne savent plus ni l’origine ni le sens.

Ces derniers temps, à force de lire les livres de référence auxquels Bob Proctor fait allusion, je commence à comprendre et à accepter ces lois naturelles dont ils parlent tous : le pouvoir de nos pensées et la puissance de la méditation.

 En fait, ce livre de Proctor et Blood n’a pas grand-chose à voir avec l’argent mais tout à voir avec la spiritualité. Du reste Proctor le dit lui même lorsqu’il mentionne les livres qui l’ont formé comme celui de Napoleon Hill: «  J’attire votre attention sur ceci:” Réfléchissez et devenez riche” se compose de quinze chapitres mais aucun ne s’intitule “L’argent”. En fait le mot “argent” ne figure dans aucun titre de chapitre. Le dernier est composé de huit mots mais le mot “argent” n’y figure pas.

Un autre livre important sur le même sujet a été écrit par J. Donald Walters: “Comment attirer l’argent”. Aucun des quatorze chapitres n’est intitulé  “L’argent”. Le mot figure pourtant dans le titre du chapitre neuf. Remarquez bien comment il est utilisé : “Comment gagner de l’argent encourage votre développement spirituel”. Robert Russell a lui aussi écrit un très bon ouvrage sur l’acquisition de l’argent: “Vous aussi vous pouvez être prospère” qui comprend huit chapitres où le mot “argent” n’apparaît dans aucun titre. »

Tous ces livres, comme ce dernier « Devenez un aimant pour l’argent dans la mer de la conscience illimitée », parlent en fait de la puissance de la pensée. Une fois cette puissance reconnue par le lecteur, il peut faire les exercices proposés démontrant la puissance de notre pensée. Ces exercices vont aboutir au but officiel recherché qui est de l’enrichir puisque c’était ce qu’il souhaitait au départ. Mais ce n’est qu’une excuse pour nous prouver que si nous maîtrisons nos pensées nous créons notre vie. Ce qui explique cette boutade : « Comment gagner de l’argent encourage votre vie spirituelle. » 

Quand vous aurez appliqué les exercices de Bob Proctor, dont l’enseignement présent est l’aboutissement de tous ces enseignants précédents, vous aurez démontré, le jour de la récolte, que ces exercices vous ont aidé à semer. Personnellement, j’en fais le pari.
Pour le moment j’en suis à méditer cette phrase « vos pensées créent le monde ».  Ne signifie-t-elle pas que chacun de nous est la manifestation d’une seule pensée que d’aucuns appellent Conscience ?

"There is but one consciousness in the universe able to
think; and when it thinks, its thoughts become objective things
to it. As this Consciousness is omnipresent, it must be present
within every individual; each individual must be a manifestation
of that Omnipotent, Omniscient and Omnipresent Consciousness."

"Il n’y a qu’une conscience dans l’univers qui soit capable de penser ; et quand elle pense, ses pensées deviennent des choses qui lui sont objectives. Puisque cette Conscience est omniprésente, elle doit être présente dans chaque individu ; chaque individu doit être une manifestation de cette Conscience omnipotente, omnisciente et omniprésente". (Charles F. Haanel – ma traduction)

lundi 6 décembre 2010

Sauter par-dessus la barrière de la terreur





Je suis le maître de mon destin, 

Je suis le capitaine de mon âme.


Ce sont les derniers vers du poème Invictus que Nelson Mandela relisait sans cesse dans sa prison.

Vous avez décidé d’être riche, (presque) aussi riche que Bill Gates qui veut que son argent éradique la malaria de la terre, (presque) aussi riche que Warren Buffett et ses confrères philanthropes qui ont décidé que la mortalité infantile aura quasiment disparu de notre planète à la fin du siècle.

-              Je n’approuve pas la philanthropie me direz-vous, la pauvreté est une affaire de politique.

-              L’un n’empêche pas l’autre. En attendant eux, ces riches-là, ils agissent, et moi j’ai mon propre rêve d’action personnelle : construire des petites salles d’accouchement au Burkina Faso.

-              Bien vu, attirez la sympathie des lecteurs en parlant de don.

-              Oui, don pour moi aussi.

-              Ah, nous y voilà !

Je me souviendrais toujours d’une fête à l’école de ma fille où tous les enfants des établissements environnants étaient venus pour former une énorme chorale. Et la mienne, petite, devant, chantait à plein poumons avec les autres : « Nous sommes les enfants de l’univers ».

Le manque d’argent n’est pas un problème, c’est un symptôme du problème. Si j’oublie d’où je viens, si j’oublie qui je suis vraiment, si j’oublie que je suis une enfant de l’univers, je n’aurai que le manque, je n’aurai que la peur.

Parfois, je me demande si Bill et Belinda Gates ne sont pas l’exemple même de la vraie spiritualité. Leur croyance en l’abondance naturelle de l’Univers étant si évidente.

Une veille de Noël, il y a des décades de cela, j’ai demandé à mes petits élèves de six ans de dessiner leur rêve. Une petite fille, qui venait d’Algérie, a dessiné une chèvre. Elle voulait acheter une chèvre pour sa grand-mère restée au pays. Tout l’or du monde.

 Car c’est décider de gagner cette sorte d’argent-là dont parle le livre de Bob Proctor et Michele Blood « Devenez un aimant pour l’argent dans la mer de la conscience illimitée ». Il ne s’agit pas d'avidité mais de richesse.  En voici un extrait qui parle du courage de faire.

 Allez sur le plan créateur de la vie. Sautez à pieds joints dans la terre de la liberté créatrice. Il est vital pour vous de ne pas consulter l’opinion des autres, à moins qu’ils savent vraiment ce que vous ressentez et soient là pour vous aider et pour soutenir votre vision. Ne demandez une opinion sur votre carrière ou sur vos intentions qu’à une personne qui elle-même a réussi à atteindre ses buts. Nous sortons du conflit en sautant par-dessus la barrière de la terreur, la barrière imaginaire que nous avons nous mêmes érigée.  N’ayez pas peur car ce n’est qu’une illusion, et même si vous avez peur, SAUTEZ LA PEUR AU VENTRE … mais surtout SAUTEZ.  




lundi 22 novembre 2010

Vous pouvez le faire et vous êtes en train de le faire.









Vous pouvez le faire et vous êtes en train de le faire

Il n’y a ni stress ni tension dans la nature: une graine accomplit le cercle complet de sa croissance, elle n’a rien à faire, elle ne fait que laisser son programme se dérouler. Quand un serpent fait sa mue, il se tortille lentement pour s’extraire de sa vieille peau. Un oiseau fait éclater la coquille qui l’enferme et sort complètement transformé, des ailes lui poussent  et il se met à voler – il est libre, libre, libre! C’est ce qui vous attend. Une nouvelle liberté, une nouvelle joie, un monde tout nouveau attend de s’ouvrir pour vous lorsque vous acceptez de vous dégager de ces habitudes, de ces pensées, de ces idées limitatives et d’être transformé. Vous pouvez le faire et vous êtes en train de le faire. Cela commence à se mettre en place. (Ellen Caddy)

Une première intention, un premier geste : une graine s’est laissée tomber, un serpent s’est tortillé, un oisillon s’est mis à frapper du bec. Et nous ? Nous avons eu l’intention du changement. Un vrai désir suivi d’un premier geste : la visualisation du rêve. Une première création dans le monde invisible.

Il s’agit désormais de laisser le programme se dérouler, la mue s’accomplir. Quand nous serons au bord de la falaise, nous nous envolerons car nous serons ailés.

Nous pouvons le faire et nous sommes en train de le faire, mais l’opération est invisible. C’est ici qu’entrent la confiance et la patience. Le jardinier ne déterre pas ses graines pour voir si elles se transforment correctement. Devenu trop gros le serpent accepte l’abandon et l’oubli de ce qui le protégeait jusqu’ici.  L’oisillon ne se retourne pas pour voir si les ailes lui poussent. La nature accepte sa transformation. Et vous et moi ?

Depuis que j’ai traduit le livre de Bob Proctor et Michele Blood « Devenez un aimant pour l’argent dans la Mer de la Conscience illimitée », j’ai semé une graine qui à présent germe dans la terre. Mais je ne le sais pas tous les jours ou à tout moment. J’aimerais bien déterrer la graine pour voir si elle pousse.

Mon métier de traductrice-passeuse me pousse à changer de peau avec chaque livre, surtout lorsque ce sont des livres inspirés comme celui-ci. Mais vers quelle nouvelle vie m’a-t-il entrainée ? Quelle ironie de dire aux autres que ce livre va éveiller leur conscience par certaines pratiques - qui au départ ne serviraient qu’à les rendre riches et donc libres - alors que moi-même je traverse ces temps que Michele Blood décrit (elle n’est pas la seule) comme « la nuit noire de l’âme » !  Vous parlez d’un exemple à donner, d’une preuve !

Je relis Michele Blood et cette traduction qui fut pour moi une méditation et le redevient tant les mots anglais de cette femme sont devenus les miens, en français : «à présent, par la pratique de la méditation et le renouveau de notre esprit par des affirmations positives et autres, les cellules de notre corps qui contiennent nos mémoires ont commencé à s’ouvrir car la glace - l’encrassement - autour de nos cellules et autour de nos corps éthérés s’est mise à fondre.       
C’est alors que nous risquons d’arrêter nos pratiques méditatives car nous nous sentons si mal et pourtant on nous avait dit que si nous méditions nous serions apaisés. En réalité, dans le silence des premiers temps de notre pratique de méditation, ces mémoires que nous croyions avoir oubliées depuis longtemps commencent à émerger et à perturber notre paix intérieure. Au début, ce phénomène arrive de plus en plus fréquemment. Alors que nous examinons notre moi intérieur et continuons nos découvertes sur la nature du Divin et nos pratiques méditatives, nous commençons à traverser ce que l’on appelle la nuit noire de l’âme. Il ne s’agit PAS d’une dépression psychologique normale, les nuits noires de l’âme sont bien plus profondes, et pourtant elles mènent à la lumière. »

Elles peuvent durer cinq minutes, cinq heures ou autre. Puis soudain la paix revient, le lâcher-prise qui chez moi ne sera jamais une certitude.

Ainsi donc, ce serait ça la vraie vie, celle des Dalaï Lama et des Nelson Mandela de ce monde. Je sais cela.

Il est un temps de semer, il est un temps de récolter.

Alors je sais que les graines semées germent en silence, l’hiver passera.

Si vous aussi voulez entrer dans la liberté que procure l'abondance, je vous conseille de lire ce livre magnifique de Bob Proctor et Michele Blood : « Devenez un aimant pour l’argent dans la mer de la conscience illimitée ». en cliquant sur le site américain vous serez envoyé sur la version française: